Principe de réalisme: la moitié des travailleurs belges (47%) à l’affût d’un nouveau job.

Près de la moitié des travailleurs belges (47 %) suivent en permanence les nouvelles offres d’emploi intéressantes dans leur domaine. 85 % sont activement à la recherche d’un nouvel emploi ou y sont ouverts. Les employeurs peuvent donc être presque sûrs que leurs collaborateurs pensent à changer d’emploi, ce qui ne manquera pas de surprendre certains. En fait, seuls 38 % des employeurs pensent que leurs employés suivent en permanence les offres d’emploi. C’est la conclusion d’un sondage sur le recrutement des talents effectué par Indeed en collaboration avec le bureau d’études Censuswide.

Un employé sur trois (32 %) déclare chercher un nouvel emploi dès qu’il est découragé ou insatisfait de sa situation professionnelle. Quatre sondés sur dix (39 %) disent qu’ils sont activement à la recherche d’un nouvel emploi en ce moment. 46 % ne cherchent pas un nouvel emploi de façon active en ce moment, mais sont ouverts aux opportunités.

L’étude montre également que les chasseurs de têtes et les recruteurs n’intéressent que 16 % des personnes qu’ils contactent au sujet d’une offre d’emploi. « Que les employés suivent les offres d’emploi ne signifie pas que les chasseurs de têtes et les recruteurs doivent rester les bras croisés », déclare Sara Cauwenbergh, Recruitment Evangelist Benelux chez Indeed. 45 % des sondés pensent d’ailleurs qu’ils réussiront mieux dans un emploi qu’ils ont trouvé et auquel ils ont postulé que dans un emploi présenté par un recruteur. C’est la preuve que les employés belges suivent de près le marché du travail mais n’acceptent pas n’importe quelle offre. De plus, ces chiffres démontrent que les employeurs ne doivent pas sous-estimer l’importance de la rétention.

Notifications en ligne

Pour surveiller les offres d’emploi, les notifications qui informent automatiquement les employés des nouvelles offres sont les plus populaires. Pas moins de 57 % des salariés y ont recours. 51 % déclarent aussi chercher activement sur les sites d’emploi, les pages carrières des entreprises ou via les moteurs de recherche tels qu’Indeed. Et 39 % ont accepté l’aide d’un recruteur.

Ce n’est pas parce qu’une proposition d’emploi est acceptée que la recherche d’un nouvel emploi s’arrête. En fait, elle ne s’achève jamais. 51 % des sondés s’inscrivent à nouveau à des alertes emploi, et 65 % des personnes récemment embauchées consultent les nouvelles offres d’emploi dans les trois mois suivant leur recrutement.

Indeed a demandé aux employeurs quelle est la source de l’embauche, c’est-à-dire comment le candidat est arrivé dans l’entreprise. Le plus facile est de poser la question directement pendant l’entretien d’embauche. Certains employeurs préfèrent demander cette information à l’aide d’un sondage pendant l’accueil du collaborateur ou d’un système de suivi automatisé.

De plus, on a demandé aux employeurs comment ils mesuraient le bon fonctionnement de leurs outils de recrutement, comme leur propre site d’offres d’emploi. L’évaluation est principalement basée sur l’expérience et les succès passés (65 % le font), les recommandations du secteur (65 % également) et les commentaires du manager concerné qui cherche un nouvel employé (61 %). 62 % des employeurs interrogés procèdent à une évaluation hebdomadaire, 23 % sur base mensuelle. Seulement 3 % n’effectuent jamais d’évaluation.

Que font ensuite les employeurs des informations apportées par ces évaluations? 73 % identifient ainsi la meilleure source d’embauche, 72 % utilisent ces informations pour la planification et la prévision. Enfin, 47 % en tiennent compte lors de l’établissement du budget.

Note – l’étude a été réalisée par Decipher/FocusVision pour le compte d’Indeed et a été menée en Belgique auprès de 500 employés et 500 employeurs.

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